MISE EN SCENE : CHARLOTTE MATZNEFF
Théâtre
20h30
Palais des Congrès à Saint-Raphaël
Durée : 1h30
Cette pièce historique met en scène l’engagement d’Émile Zola et Georges Méliès dans l’affaire Dreyfus. Ils sont Les Téméraires, mis en scène par Charlotte Matzneff avec inventivité et vivacité.
Âge minimum conseillé : 12 ans
merci de contacter la billetterie au 04 94 95 55 55
1894, l’affaire Dreyfus divise la France. Alfred Dreyfus, juif et capitaine de l’armée française est accusé d’espionnage et déclaré coupable. Une vague d’antisémitisme inique s’abat sur la France. Il faut être téméraire pour se lancer dans le combat.
En plein succès littéraire et contre l’avis de son éditeur et de certains de ses amis, Zola enquête sur le cas Dreyfus et arrive à cette conclusion : ce militaire est un bouc émissaire idéal. Depuis son studio de cinéma, Méliès, lui, s’engage à dénoncer un mensonge d’État. Malgré les menaces, l’un écrit J’accuse, l’article le plus connu de l’Histoire, l’autre réalise le premier film censuré au monde, L’Affaire Dreyfus.
La pression médiatique influe sur l'opinion, Zola et Méliès vont devoir se battre pour faire éclater la vérité.
Les auteurs de cette pièce ont travaillé comme l’auteur de L’Assommoir, ils se sont documentés, ont pisté les moindres détails pour nous fournir une pièce passionnante. Ils décrivent des hommes courageux qui se battent pour une cause parce qu’ils sont intimement persuadés qu’elle est juste. Une leçon à voir et à revoir...
MISE EN SCENE : CHARLOTTE MATZNEFF
Texte : Julien Delpech & Alexandre Foulon
Mise en scène : Charlotte Matzneff
Assistante à la mise en scène : Manoulia Jeanne
Musique : Mehdi Bourayou
Costumes : Corinne Rossi
Scénographie : Antoine Milian
Lumières : Moïse Hill
Avec : Romain Lagarde, Stéphane Dauch, Sandrine Seubille,Barbara Lamballais, Antoine Guiraud, Armance Galpin & Thibault Sommain
» Une mise en scène inventive et enlevée, alliant harmonieusement comique et gravité, rappelant le courage et la ténacité qu’il fallait pour décider d’entrer dans cette mêlée et cette lutte pour la vérité et la justice. » Le Parisien