MALANDAIN BALLET BIARRITZ
Danse
20H30
Théâtre Le Forum à Fréjus - Salle Gounod (850 places)
Durée : 1h05
La nouvelle création de Thierry Malandain pour les 22 danseurs de son ballet de Biarritz, est une oeuvre subtile et éblouissante qui conjugue avec élégance écritures néo-classique et contemporaine.
merci de contacter la billetterie au 04 94 95 55 55
Thierry Malandain réunit au sein d’un même programme Les Quatre Saisons de Vivaldi et Les Quatre Saisons composées par Giovanni Antonio Guido. Réunir ces deux compositions au sein d’un même programme est un pari audacieux : en dehors du fait d’être contemporaines et de célébrer la nature, elles sont bien différentes. Le chorégraphe livre une création virtuose, composant une série de superbes ensembles pour une compagnie irréprochable techniquement, portée par le soliste charismatique Hugo Layer qui illumine la scène.
De l’ouverture à la fermeture de rideau, les tableaux s’enchaînent avec une délicate fluidité et saisissent par leur beauté. Chaque geste semble faire écho à une note, chaque enchaînement de mouvements à une partition. Tout a été pensé pour que l’harmonie soit parfaite, pour que l’écriture du chorégraphe se fonde avec celles des compositeurs.
Avec cette nouvelle création, Thierry Malandain poursuit avec cohérence le sillon creusé avec ses derniers ballets autour des rapports de l’Humanité avec le Vivant et la Nature. Sublime !
MALANDAIN BALLET BIARRITZ
Avec 22 danseurs du Malandain Ballet Biarritz
Décor et costumes : Jorge Gallardo, Lumières : François Menou
Réalisation costumes : Véronique Murat, Charlotte Margnoux assistées d’Anaïs Abel
Réalisation décor : Frédéric Vadé
Réalisations accessoires : Annie Onchalo
Assistants décor et accessoires : Nicolas Rochais, Gorka Arpajou, Félix Vermandé, Raphaël Jeanneret, Christof t’Siolle, Txomin Laborde-Peyre, Maruschka Miramon, Karine Prins, Sandrine Mestas Gleizes, Fanny Sudres et Fantine Goulot
Maîtres de ballet : Richard Coudray, Giuseppe Chiavaro, Frederik Deberdt
« Juste une splendide invitation à méditer sur la beauté de la vie et le passage du temps. » Le Figaro